L'amour est à la fois un mystère et un miracle. C'est le moteur de ma vie.

Qu'il s'agisse de l'amour propre, de l'amour filial, conjugal, fraternel ou amical, l'amour est incontournable dans la vie.

Qu'il soit renversant ou édifiant, l'amour ne nous laisse pas indifférent...il fait couler autant d'encre que de larmes.

C'est le rêve de tout un chacun de vivre ce qui semble être l'expérience la plus intense de toute une vie.

Bienvenu sur ce blog, l'espace de l'amour par excellence pour découvrir le mystère d'aimer, partager doutes, cris et expériences d'amour dans le but de s'exprimer sur l'amour, comprendre et enfin savourer le plaisir d'aimer et d'être aimé.

En espérant que ce blog libérera tout l'amour qui est en toi afin de faire de l'amour le miracle de ta vie.

Bienvenue en terre de feu où l'amour est roi.

martes, 6 de agosto de 2013

Secrets d'amour


un texte Magnifique d'Osho sur L'AMOUR

"Le cœur de l’homme est un instrument de musique et il contient une musique grandiose. Elle est endormie, mais elle est là, attendant le moment voulu pour être interprétée, exprimée, chantée, dansée. Et c’est à travers l’amour que le moment arrive. Un homme sans amour ne connaîtra jamais cette musique et ne saura jamais quelle était la musique qu’il portait dans son cœur. C’est seulement à travers l’amour que la musique commence à prendre vie, elle se réveille et cesse d’être potentielle pour se convertir en réalité.



Qu’est-ce que l’amour ? C’est une profonde nécessité d’être un avec le tout, une profonde nécessité de dissoudre dans l’unité le toi et le moi. L’amour est ainsi parce que nous sommes séparés de notre propre source. De cette séparation naît le désir de retourner au Tout et de s’unifier avec Lui.

Ton ego es devenu une barrière entre toi et ta terre : le Tout. L’homme s’asphyxie, il ne peut plus respirer, il a perdu ses racines. Il n’est plus alimenté. L’amour est un désir de nutrition ; l’amour c’est s’enraciner dans l’existence.



L’amour, a de la valeur en soi : il n’a pas de propos, il n’a pas de finalité.



Il a une immense signification ; une grande joie ; une extase en lui même, mais ce ne sont pas des finalités. L’amour n’est pas une affaire où importeraient les objectifs, les buts. Il y a toujours une certaine folie dans l’amour . . .

L’amour est sans raison aucune. La seule chose que tu peux dire c’est : je ne sais pas ! Tout ce que je sais c’est quaimer c’est expérimenter l’espace le plus beau en soi-même. Mais ce n’est pas un objectif. Cet espace n’est pas mental.

Cet espace ne peut être converti en confort. Cet espace est comme un bouton de rose avec une goutte de rosée posée dessus, brillante comme une perle. Et avec la première brise du matin au soleil, ce bouton de rose est en train de danser. L’amour c’est la danse de ta vie



L’amour c’est la rencontre, la rencontre orgasmique de la vie et de la mort . . .



Pour l’atteindre, il y a quatre pas à mémoriser.

Le premier : être ici et maintenant, parce que l’amour n’est possible qu’ici et maintenant. Tu ne peux pas aimer dans le passé.

Le second pas vers l’amour c’est : apprends à transformer tes venins … en miel ...

Le troisième pas vers l’amour c’est de partager tes éléments positifs, partager ta vie, partager tout ce que tu peux avoir.Tout ce que tu as de beau, ne le cache pas

Et le quatrième : ne sois rien.



Quand tu commences à penser que tu es quelqu’un, tu t’immobilises, tu te figes.

Alors l’amour ne coule plus.

 

L’amour ne s’écoule que de quelqu’un qui n’est personne. L’amour réside dans le rien.

Quand tu es vide, il y a de l’amour. Quand tu es plein d’ego, l’amour disparaît.



L’amour et l’ego ne peuvent converger.



Il est très facile d’aimer les gens dans l’abstrait, le vrai problème surgit dans le concret.



Et souviens-toi, si tu n’aimes pas les êtres humains concrets, les êtres humains réels, tout ton amour pour les arbres et les oiseaux est faux, pur bavardage.



L’amour est une fleur très fragile. Il doit être protégé, il doit être renforcé, il doit être arrosé ;

alors seulement il grandit.



Aime comme quelque chose de naturel, comme tu respires.

Et quand tu aimes quelqu’un ne commence pas à exiger ;

sinon, même dès le début, tu commenceras à fermer les portes.



Ne sois dans aucune attente.

Si quelque chose se présente sur ton chemin, ressens de la gratitude. Si rien ne vient, ce n’est pas nécessaire que cela vienne, tu n’en as pas besoin, tu ne dois pas rester dans cette attente.

L’amour n’est pas un commerce, cesse donc de le traiter comme tel.

Sinon tu malmèneras ta vie, l’amour et tout ce qu’il y a de beau en lui, car tout ce qui est beau n’est absolument pas négociable. L’existence ne connaît rien au commerce.

Les arbres fleurissent, ce n’est pas du commerce. Les étoiles brillent, ce n’est pas du commerce, tu n’as pas à payer pour cela et personne n’exige rien de toi.

Un oiseau vient et se pose sur ta porte, te chante une chanson et il ne te demande aucun certificat, ni rien d’autre. Il a chanté sa chanson et très satisfait s’est envolé sans laisser de trace.

C’est comme cela que l’amour grandit. Donne et n’attend pas de voir combien tu peux obtenir.

Ne demande rien et n’exige rien.



Aime les gens ordinaires. Il n’y a rien de mauvais chez les gens ordinaires. Les gens ordinaires sont extraordinaires. Chaque être humain est si unique ! Respecte cet être unique.

Donne et donne sans aucune condition et tu sauras ce qu’est l’amour.

Je ne peux pas le définir. Je peux te montrer comment il se développe.

Je peux te montrer comment planter un rosier, comment l’arroser, le fertiliser, le protéger.

Et un jour inattendu un rose apparaît et ta maison se remplit de parfum.

C’est ainsi qu’apparaît l’amour.



Dès le moment où l’amour devient une relation de couple traditionnelle il se transforme en esclavage, car il y a des attentes, il y a des exigences, des frustrations, et un effort des deux côtés pour avoir la domination. Il se convertit en une lutte pour le pouvoir....

Le mot amour, en tant qu’un état d’être , a un sens totalement différent.

Cela veut dire que simplement tu aimes ; tu n’es pas en train d’établir une relation de couple.

Ton amour est comme le parfum d’une fleur. Il ne crée pas une « relation » ; il ne te demande pas d’être d’une manière déterminée, que tu te comportes selon certains critères, que tu agisses d’une certaine façon.

Il n’exige rien.



Simplement il partage. Et dans ce partage il n’y a pas non plus le désir d’être récompensé.

Le partage lui-même est la récompense.



Quand l’amour est pour toi devenu un parfum, il révèle une extrême beauté et contient quelque chose qui dépasse ce qu’on nomme l’humanité. Il a quelque chose de divin.

Sache que l’amour arrive toujours à l’improviste. Non pas comme une conséquence d’un effort de ta part, mais comme un cadeau de la nature. A ce moment là tu ne l’aurais pas accepté si tu avais été préoccupé parce qu’un jour, soudainement, il pouvait se terminer.



Les fleurs vont toujours continuer de naître, mais ne t’attache pas à une fleur,

sinon, bientôt tu te trouveras attaché à une fleur morte.

Et c’est bien la réalité : les gens s’attachent à un amour mort, qui fut un jour vivant.

Si tu as quelque chose qui te donne de la joie, de la paix, de l’extase, partage le.

Et rappelle-toi que quand tu partages il y a une raison.



Je ne te dis pas qu’en partageant tu iras au ciel. Je ne te donne aucun but.

Je te dis que par le simple fait de partager tu seras extrêmement satisfait. 

Dans le partage lui-même il y a la satisfaction, il n’y a aucun but ;

il n’est orienté vers aucune finalité. Il est une fin en soi.



Quand tu n’as pas d’amour tu demandes à l’autre de t’en donner. Tu es un mendiant. Et l’autre est en train de te demander de lui en donner, à lui ou à elle. C’est maintenant deux mendiants tendant la main l’un vers l’autre, tous les deux avec cette espérance que l’autre en aura. Naturellement, les deux se sentent déçus et les deux se sentent trompés.

C’est là le paradoxe : ceux qui s’amourachent n’ont pas d’amour et c’est pour cela qu’ils tombent amoureux. Et comme ils n’ont pas d’amour ils ne peuvent en donner.



Et plus encore, une personne immature s’amourache d’une autre personne immature, parce qu’elles seules peuvent comprendre le langage de l’autre.

Une personne mature aime une autre personne mature.

Une personne immature aime une personne immature.

Le problème de base de l’amour c’est de mûrir d’abord, et alors tu rencontreras un partenaire mature. A ce moment là les gens immatures ne t’attireront plus du tout.

Il en est tout simplement ainsi.

Quand deux personnes matures sont amoureuses, il se produit un des plus grands paradoxes de la vie, l’un des phénomènes les plus beaux : Ils sont ensemble et cependant extrêmement seuls ; ils sont tellement unis qu’ils sont quasiment un.

Mais leur union ne détruit pas leur individualité, en fait elle la rehausse :

ils deviennent encore plus des individus.

Deux personnes matures amoureuses s’aident mutuellement à être de plus en plus libres.

Je t’aime. Je ne peux l’éviter. La question n’est pas que je puisse t’aimer ou non, simplement je t’aime. Si tu n’étais pas ici, cet espace serait plein de mon amour, il n’y aurait pas de différence. Même ces arbres recevraient mon amour, ces oiseaux continueraient à le recevoir.

Et même si tous les arbres et les oiseaux disparaissaient, cela ne ferait aucune différence :

l’amour continuerait de couler. L’amour est, donc l’amour s’écoule.


Tout comme la lumière entoure la flamme, l’amour t’entoure.
 Tu es amoureux, tu es amour.

Alors l’amour est éternel. Il n’est dirigé vers personne. Quiconque s’en approche s’y abreuvera.

Quiconque s’approchera de toi sera enchanté par l’amour, enrichi par lui.

Un arbre, un rocher, une personne, un animal, n’importe.

Même si tu te trouves assis, tout seul . . .

Bouddha, seul, assis sous son arbre est en train d’irradier l’amour.

L’amour est constamment en train de pleuvoir autour de lui.

Cela est éternel et c’est là que réside la véritable puissance du cœur.



Source: Osho « Vie, Amour, Rires »

viernes, 4 de marzo de 2011

Comment est enraciné votre amour???


Les racines de l'amour font la force de l'amour....


Comment est enraciné votre amour?
Qu'est ce qui le rend fort?
Qu'est ce qui vous unis?
Qu'est ce qui uni vos coeurs?


Si votre amour était un arbre, quel serait il?


Que vos racines s'étendent et fasse grandir cette communion de vies et de coeurs.


Karin

jueves, 10 de febrero de 2011

les 3 portes de la vie....et de l'amour


Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.

- Éclaire-moi sur le Sentier de la Vie, demanda le Prince.

- Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t'en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.

Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire :

"CHANGE LE MONDE"

- C'était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas.

Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent. Bien des années passèrent.

Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

- J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas.

- C'est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.

Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire :

"CHANGE LES AUTRES"

- C'était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume et de frustration.

Et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.

Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

- J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion. C'est en moi que prennent racine toutes ces choses.

- Tu as raison, dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Sois reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.

Et le Vieil Homme disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots :

"CHANGE-TOI TOI-MÊME"

- Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c'est bien ce qui me reste à faire, se dit-il.

Et il entama son troisième combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.

Après bien des années de ce combat où il connut quelques succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

- J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser.

- C'est bien, dit le Sage.

- Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.

- C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.

Et il disparut.

Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la troisième porte et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait :

"ACCEPTE-TOI TOI-MEME"

Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi la porte la première fois, dans l'autre sens.

- Quand on combat, on devient aveugle, se dit-il.

Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui, tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui : ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons. Il apprit alors à les reconnaître, à les accepter, à les aimer. Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blâmer.

Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

- J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi, c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même. J'ai appris à m'accepter moi-même totalement, inconditionnellement.

- C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse. Maintenant tu peux repasser la troisième porte.

À peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte et y lut :

"ACCEPTE LES AUTRES"

Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie. Celles qu'il avait aimées et celles qu'il avait détestées. Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues. Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir(*) leurs imperfections, leurs défauts , ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.

Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.

- Qu'as-tu appris sur le chemin ? demanda ce dernier.

- J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même, je n'avais plus rien à reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux. J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement.

- C'est bien, dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse. Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte et y lut :

"ACCEPTE LE MONDE"

Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois. Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur Perfection.(**) C'était pourtant le même monde qu'autrefois. Était-ce le monde qui avait changé ou son regard ?

Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :

- Qu'as-tu appris sur le chemin ?

- J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit pas le monde, elle se voit dans le monde. Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai. Quand elle est accablée, le monde lui semble triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai. Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait, mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à l'accepter sans le juger, totalement, inconditionnellement.

- C'est la troisième Sagesse, dit le Vieil Homme. Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde.
 
Un profond sentiment de Paix, de Sérénité, de Plénitude envahit le Prince. Le Silence l'habita.

- Tu es prêt, maintenant, à franchir le Dernier Seuil, dit le Vieux Sage. Celui du passage du Silence de la Plénitude à la Plénitude du Silence.

Et le Vieil Homme disparut.
Charles Brulhart

jueves, 3 de febrero de 2011

Fantômes de l'amour: les croyances



Les croyances
Si les peurs nous terrifient, nous sommes également victimes de nos croyances qui détruisent ou tuent l’amour.

Une croyance est une idée devenue une vérité maintes fois vérifiée dans notre vie relationnelle passée ou présente.


En voilà quelques unes:

- l'amour ne dure pas
- l'amour nous fait perdre nos amis
- l’amour rend dépendant de l’autre
- l'amour fait souffrir
- les femmes sont des manipulatrices
- les hommes ne s'engagent jamais
- les femmes sont des profiteuses
- les hommes ne pensent qu'au foot
....

Et vous qu'elles sont les croyances qui vous coupent de l'amour, ou vous font vivre des histoires qui confirment vos « vérités ». Nous attirons très souvent ce que nous croyons. Et comme l’être humain aime avoir raison, il préfère confirmer ce qu’il pense plutôt que d’imaginer un instant qu’il s’est trompé !!

Je vous propose aujourd’hui de changer le sens de 2 ou 3 de vos croyances....Au lieu d’en faire une croyance limitante, je vous invite à la transformer en une vérité attirante et motivante pour vous conduire sur le chemin de l’amour.

Reprenez le pouvoir sur vos croyances, et attirez le meilleur dans votre vie.

martes, 1 de febrero de 2011

les fantômes de l'amour



Certaines choses empêchent ou tuent l'amour?

La peur est un de ces monstres terrifiants qui nous fait Fuir, nous battre, ou nous Congeler quand l'amour pointe son nez.
Voici quelques une des peurs souvent annoncées:

- Peur de perdre l'autre
- Peur de se perdre en l'autre
- Peur de s'engager
- Peur de l'infidélité
- Peur du mensonge
- Peur du rejet
- Peur de l'abandon
- Peur de la trahison
- Peur de se faire dominer
- Peur d'être violenter
- Peur de se tromper....

Et vous quels sont vos peurs?

Les peurs une fois démasquées sont moins tenaces....alors partez à la chasse, et libérez vous de ces fantômes la plupart du temps fantastiques.

Karine

miércoles, 26 de enero de 2011

LA SOLITUDE


"c'est le moment pour moi de chercher une guérison et une paix que seule la solitude peut apporter" 
Elizabeth Gilbert, Mange, prie, aime
  

L’Amour c’est comme une mélodie, sans silence pas de musique…
Et le plus souvent c’est dans le silence de notre cœur que se préparent nos plus beaux morceaux.
Quand le cœur a souffert par amour, le silence et la solitude sont autant de caresses qu’une foule d’amis et de bruits autour de vous pour vous cajoler.
La solitude est l’amie de ceux qui prépare leur vie à la hauteur de leurs désirs, pour s’adonner à la création de leur vie.
Tel un artiste qui se retire dans son atelier pour faire naître son œuvre, l’amoureux a aussi besoin de son temps de retraite pour préparer son cœur et co-créer sa vie avec l’univers.
L’isolement devient alors une phase créatrice, une respiration, un temps mort qui rebondit sur un nouveau monde à l’image de son univers intérieur rempli de cette paix intérieure retrouvée.

Si vous êtes en chemin vers cet être que vous cherchez…prenez le temps de vous arrêtez et de savourez la solitude.
La vie patiente bien 9 mois pour montrer son visage…pourquoi l’amour en ferait autrement ?
La vie jaillit toujours quand l’enfant est prêt,  quand les fruits sont mûrs, quand la musique est  un chant d’harmonie.
Ne vous pressez pas, l’amour arrive toujours à la bonne heure à qui sait attendre patiemment la guérison de son cœur et la paix intérieure.

miércoles, 19 de enero de 2011

ENTRER DANS LA DANSE



J'ai renoué avec une de mes passions: la danse....et qu'elle danse! Celle de l'amour, de la relation, de la passion à l'image de ce que je suis, à l'image de ma vie.


Le Tango: danse d'un peuple en exil, elle est devenu la danse de l'amour et de la passion par excellence.


Aimer à l'image du tango, c'est un pas de deux, ou le jeux et les codes s'entremêlent au son de la musique tantôt mélancolique, tantôt joyeuse et enlevé.
Le tango réveille nos peurs relationnelles et nous entraine dans une danse ou la parole est subtil et délicate au travers d'un simple mouvement de corps. La main est l'interprète de la pensée, et le corps traduit ce message en dessinant sur le sol des figures.


La connexion avec l'autre est indispensable, et la déconnection avec ces pensées indispensable...




La danse est un langage à part entière et nous sort de notre conception cartésienne...elle m'apprend l' art de vivre à 2 ....et de me rapprocher d'une vie où le jeu, l'écoute, la passion prenne une tout autre forme que celle que nous connaissons.


L'amour est aussi un pas de deux, entrer dans la danse....et la passion.



Karine BARKI